MEURTRES

LES TRACES MONTRENT QU'UN CORPS (ÉPOUSE) FUT DÉPLACÉ DE LA SALLE 3 (CHAMBRE À COUCHER) (VOIR LE PLAN) VERS LA PORTE DU SOUS-SOL

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12.3.15

DOSSIER D'ÉVÉNEMENT 2

Au Canada, 1.44 meurtres par 100 000 habitants. Ces événements sont imprévisibles - quoique la plupart concernent - dans les rôles de victimes et d'assaillants et de témoins - des proches connus de leurs cercles d'amis, de parents ou de relations sociales. De ce point de vue, lorsqu'on regarde le passé l'enquête terminée - tout était fortement prévisible - mais la tragédie était en route, le train sur les rails et impossible de l'arrêter. Bien sûr, on ne compte pas ici les innombrables (est-ce le terme juste?) événements qui ne se sont jamais passé ou n'ont jamais été jusqu'à leur terme tragique. Pour toutes sortes de raisons. Qui sont demeurées nébuleuses, hors du champ de conscience des protagonistes. Parce que l'événement ne s'est jamais passé. Et que les autres événements qui ont empêché le déroulement de l'événement principal sont demeurés inconnus. Mais en ce qui concerne les forces policières, leur rôle est précisés depuis des milliers d'années: lorsque le fait dramatique s'est terminé, on les appelle. Elles font enquête. Trouvent ou non le ou les coupables, le ou les complices, passifs ou actifs. Et le juge fait ensuite son travail lors du procès. Le bourreau ou les gardiens de prison font le spectacle de la sentence. Spectaculaire lorsque l'exécution était publique. Privée, lorsque les lois exigent la relégation dans l'obscurité au cours des années suivantes de la ou des personnes ayant commis ce crime. Ou l'ayant laissé commettre. Nous noterons que tant que la psychologie ne sera pas devenue une science fiable. Tant que l'informatique ne permettra pas de reconnaître les mots ou les idées ou les inflexions de voix indiquant un complot en voie de réalisation en vue de commettre un crime: ce crime ne pourra être prévenu ou stoppé. Toujours la police arrivera après. Même si des esprits délirants prétendent qu'en augmentant le nombre de lois, en diminuant les protections laissés aux citoyens, en ajoutant des budgets, des effectifs, augmentant les sentence. Même les allongeant à la durée de la vie du condamné. Même lorsqu'il périra en prison. Ces établissements devenant des asiles de vieillards fous. Ou. Rétablissant la peine de mort. Les criminels ne seront jamais empêché de commettre leurs crimes. Parce qu'ils ne peuvent faire autrement. Sinon, ils ne seraient pas des criminels et ne commettraient pas de crimes. Que ce soit la vengeance, des intérêts sentimentaux, sexuels, financiers, politiques, idéologiques, religieux, philosophiques ou la simple folie qui les guide. Et, ensuite, la police trouvera ou ne trouvera pas le coupable. Parce qu'il sera intelligent ou chanceux. Ou que l'embauche de personnel ayant été déficiente, ceux qui auront été engagé ou promu comme enquêteurs, seront des incapables. Et, il faut le souligner, la plupart des meurtres dont on ne trouve pas les coupables n'ont tout simplement pas été compris comme tel. Ce que tout le monde a pris comme un accident, une maladie, une infection, un suicide ou une mort naturelle n'était qu'un assassinat. Mais personne ne l'a remarqué. L'assassin a profité de son crime et a enterré sa victime. Il n'y aura alors que la mort naturelle qui punira finalement le criminel puisque tout le monde meurt. Finalement.